
Diabète de Type I
Qu'est-ce que le diabète de type 1 ?
Trouble du métabolisme glucidique entraînant une hyperglycémie chronique et résultant d’un déficit absolu en insuline par défaut de sécrétion d’insuline suite à la destruction des cellules β pancréatiques.
C'est à dire que les cellules qui sécrètent l'insuline ne fonctionnent plus, l'insuline permettant le stockage du glucose ou son utilisation, le glucose reste dans le sang et entraîne une hyperglycémie chez le patient. Ce diabète concerne 6% de la population, dont 95% chez les personnes de moins de 18 ans.
Comment est diagnostiquer le diabète de type 1?
Le diabète apparaît le plus souvent chez des patients jeunes <25ans, les symptôme sont une polyphagie (besoins de manger supérieur à la normale) ainsi qu'un polydipsie (sensation de soif jamais satisfaite). Le sujet atteint souffre également de polyurie (besoin fréquent d'uriner). Le diabétique est très fatiguée et tombe souvent dans les pommes et s'amaigrit à vue d’œil car le glucose est absorbé dans les urines et est donc en hypoglycémie. Il est possible que le patient soit également sujet à des allergies. On établit vite une personne atteinte de diabète de type 1, en effet les patients souvent jeunes font de nombreux malaises et ont tendances à être de corpulence plutôt maigre.
Quels sont les causes du diabète de type 1 ?
Cette maladie est d'origine génétique avec une influence des paramètres environnementaux. Il y a plus de 10 gènes en causes, le système HLA de classe II est le système le plus mis en cause ainsi que d'autres gènes se situant dans la région du gène de l'insuline.
La spécificité du diabète de type I est donc l'incapacité à produire de l'insuline par le pancréas rendant l'organisme incapable de stocker et d'utiliser le glucose. La personne diabétique à une glycémie élevée mais se voit dans l'incapacité de l'utilisé convenablement.
Glycémie normale à jeûn : 0,7-1 g/L
Glycémie chez une personne diabétique à jeûn : >1,26 g/L
Quel est le traitement du diabète de type I ?
Cette maladie ne se guérit pas mais il est possible de vivre paisiblement malgré sa présence, avec des autocontrôles de sa glycémies, à l'aide de bandelettes urinaires en cas d'hyperglycémie (>2,5g/L) ou au réveil par un lecteur de glycémie. Ces auto-contrôles permettent au patient de voir les variations de la glycémie. Le patient doit également utilisé des piqûres régulière d'insuline. En effet, le patient se fait une piqûre d'insuline, il existe de type d'insuline appelé basal-bolus, en effet l'insuline dites basal permettent de s'injecter de l'insuline lente qui va permettre de couvrir les besoins sur une longue période. On s'injecte l'insuline basale au réveil et le soir au couché, l'insuline bolus est rapide mais dure moins longtemps on les prends avant chaque repas afin de ne pas se retrouver en hyperglycémie. De plus il est important que le diabétique apprennes à adapter ses doses d'injection d'insuline en fonction de sa glycémie, des repas à venir ainsi que des activités physique prévue.
Il faut également faire attention à l'alimentation pour éviter une hyperglycémie. Pour en apprendre davantage nous vous invitons à aller voir la rubrique Alimentation et diabète.