Qu'est-ce-que le diabète de type II ?

 

Trouble du métabolisme glucidique résultant d’une carence relative en insuline du fait d’une insulino-résistance des tissus cibles (muscle, foie, tissu adipeux), entraînant une hyperglycémie chronique et pouvant s’accompagner à long terme de complications dégénératives. C'est-à-dire que le pancréas, contrairement au diabète de type I continue de produire de l'insuline cependant les récepteurs qui se trouve au niveau des tissus (le foie, les reins, les muscles...) fonctionnent mal et ne capte pas l'insuline. 

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Comment est diagnostiqué le diabète de type II ? 

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Le diabète de type apparaît souvent tard, d'abord car il est asymptomatique, avec moyen de découverte est alors de 63.1 ans, alors qu'il débute entre 50 et 65 ans. Il est souvent découvert lors d'un exemple biologique de routine, lors de complications dégénératives ou bien lors d'une décompensation sévère. 

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Quel est le dépistage du diabète de type II ?

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Le diabète de type II est dépister par une glycémie veineuse à jeun (GAJ), ce test est réalisé lors d'une suspicion de diabètes mais également pour tous les patients présentant au moins un facteur de risques. 

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Quels sont les facteurs de risques du diabète de type II ? 

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Tout d'abord, il y a des facteurs génétiques qui peuvent provoquer ce diabète : des antécédents de diabète gestationnel ou de macrosomie fœtale, ou des antécédents familiaux de diabète de type II (si vos deux parents sont atteint de diabète de type II, il est fort possible que vous le soyez aussi). De plus, il y a des facteurs environnementaux comme la sédentarité et l'obésité. 

 

Quels sont les traitements du diabète du type 2 ?

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Le DT2 est traité dans un premier temps par des mesures hygiéno-diététiques mais on a souvent rapidement recours à des traitements antidiabétiques oraux dont l'efficacité n'est optimale que s'ils sont associés à une alimentation équilibrée et à une activité physique régulière.

L'objectif des antidiabétiques oraux est de :

• Stimuler la sécrétion d'insuline 

• Favoriser l'utilisation périphérique du glucose et de diminuer sa production hépatique 

• Réduire la résorption intestinale des hydrates de carbones

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